est un des symboles le plus important de Cadenet. Créée par le sculpteur Jean-Barnabé Amy, elle célèbre la mémoire d’André Estienne, enfant de Cadenet né en 1777, engagé volontaire à 14 ans dans le bataillon du Luberon, qui se distingua lors de la bataille d’Arcole, en novembre 1796. Avec le Panthéon et l’Arc de Triomphe de Paris, c’est la troisième représentation de cette personnalité cadenetienne.

Les rues Bara et Viala, qui débouchent sur la Place du Tambour d’Arcole, font également référence à deux autres enfants tambours auxquels André Estienne est souvent associé.

Le rempart de Cadenet date de 1545. Il ceinturait le village et disposait d’une série de tours qui défendaient quatre portes au total. Ici, le chemin de ronde dont il ne reste qu’un petit vestige, permettait d’accéder à la porte dite Sainte-Anne se situant entre les deux bâtiments, elle est actuellement matérialisée par les deux plots se trouvant au sol.

Guillaume Beckert – Association C.L.E.F.

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The statue of the Arcole Drummer was made by sculptor Jean-Barnabé Etienne and pays homage to André Estienne, a Cadenet boy, who in November 1796, at the age of 14 signed up as a volunteer in Napoleon’s Luberon battalion. The Arcole Drummer remains one of the most important fi gures in Cadenet, and the statue was erected on 10th August 1894. There are also depictions of the Arcole Drummer at the Pantheon and the Arc de Triomphe in Paris. The streets leading to the Arcole Drummer square, rue Bara and rue Viala, are named after the two other drummer boys from Cadenet who are often associated with André Estienne.

The ramparts of Cadenet can be dated back to 1545. Originally, the ramparts surrounded the village and included a series of towers defending a total of four gates. Here we can see a small remaining part of the walkway leading to the Saint Anne gate, which was located between two buildings and is represented by the two posts on the ground.